Ca y-est, l’ dab du gouvernement nous met au parfum du déconfinement.

J’ai bien compris la chose : on sort, on prend l’omnibus ou l’ métropolitain, on va au turbin et, masqués comme des grinches (voleurs – ndt), on tue l’ virus d’achar et d’autor (avec acharnement et autorité – ndt) !

Eh bien ! je l’affirme haut et fort, « j’ suis d’ l’avis du gouvernement » comme disait mon ami Aristide Bruant, et j’abonde ainsi dans le sens du Premier Ministre.

Primum non nocere, d’abord, ne pas nuire… à l’économie, car le virus finira bien par mourir après avoir tué son hôte et, une fois dans la tombe, on en sera débarrassé !

En attendant, on participe en crevant pour nourrir eul’ biffard qui bat l’ beurre (le bourgeois qui spécule en bourse – ndt) !

Et je veux contribuer maintenant à cet esprit de clarté dont nos respectés sachants – et je ne citerai que les docteurs Ragoût, Varan, La Buse, Défraichy et Seulomonde parmi toutes les sommités qui envahissent la lucarne – esprit de clarté dont nos respectés sachants, disais-je, font preuve chaque jour.

Donc, comme Docteur, j’ai préparé pour la faculté une communication scientifique sur « les Virus » ! Et pour faire commif (comme il faut – ndt), je r’prends ici le magistral travail de mon confrère Maurice Mac-Nab (1856/1889) sur « les Fœtus » et me fonde de surcroit sur une pratique de 150 ans attestée par la supervision active de mon ami le bon Docteur Dubois qui me disait toujours : « touche Dubois, ça porte chance » !

Car s’il est vrai qu’ ces p’tits trucs pas propres meurent quand nous disparaissons, ne doit-on pas penser que ce sont aussi des… créatures ?

Va savoir Jules !