Mon aminche Jules JOUY avait écrit un V’là l’choléra qu’arrive ! Et il l’avait postiché : chanson anarchiste ! Il espérait une épidémie chez les probloques (les propriétaires – ndt).
Aristide BRUANT, dans sa salade (chanson – le V’là l’ choléra qu’arrive de Bruant a précédé celui de Jouy de 3 ou 4 ans – ndt) moutonne la faisanderie d’la crève (dénonce la marchandisation de la mort – ndt), les baveux qui crient vingt-deux au puceron (les politiciens qui lancent de fausses alertes sur les maladies – ndt) et les ch’vaux légers (politiciens de droite, voire d’extrême droite – ndt) monarchistes revanchards : « L’Bon-Dieu, du haut du Sacré-Coeur (la basilique a été construite grâce à des souscripteurs voulant racheter les « fautes » des communards – ndt) chante avec tout’ sa clique ; et les cagots reprennent en choeur : crève la République !« .
I’s diraient quoi d’cette époque et de son CORONA ?
Va savoir Jules !